« Errare humanum est, perseverare diabolicum »
Sur la "Promenade des anglais" de Nice, un terroriste lance un camion dans la foule rassemblée pour le feu d'artifice du 14 juillet fauchant des dizaines de personnes dans une panique totale.
Le bilan provisoire au matin est de 80 tués et une vingtaine de blessés dans un état critique...
Le carnage de Nice est le symptôme de la décadence d'un Occident livré à un individualisme consumériste fondé sur le spectacle amoral et violent et d'une France malade de la trahison de ses élites...
Demain il y aura les condoléances hypocrites des dirigeants,
des réactions débiles des nationalistes communautaristes,
des débats stériles au théâtre audiovisuel,
des récupérations électoralistes des candidats en manque d'arguments,
qui tous couvriront les vrais pleurs des familles touchées par ce massacre.
Le pouvoir canalisera et détournera certainement l'émotion des quelques français survivants au milieu des ruines de leur pays par une campagne de communication populiste "Je suis Nice"...
2 politiques, 2 résultats et pourtant 1 seul devoir...
Et le peuple attendra passivement le prochain attentat...
Aujourd'hui, le pouvoir, qui ne gouverne plus rien depuis longtemps, va certainement prolonger son état d'urgence débile et totalement inefficace contre ces fous, mais tellement utile à la dictature de la pensée unique, dont il est le premier larbin.
Les français sont choqués, mais ouvriront-ils suffisamment les yeux pour reconnaitre l'identité du monstre qui a lancé le camion sur cette foule innocente ?
Ce meurtrier de masse s'appelle Pompidou, Giscard, Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande...
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