vendredi 10 juin 2016

Alors, on triche en Autriche ?

L'Autriche au bord d'un scandale électoral historique 


Qu'on aime ou qu'on aime pas le perdant ou la gagnant déclarés de cette élection présidentielle autrichienne du 22 mai dernier, force est de constater que la très courte victoire de Alexander Van der Bellen (50.3% soit 30 863 voix d'avance) sur Norbert Hofer, est aujourd'hui très contestée du fait des nombreuses irrégularités constatées lors du dépouillement des votes.

En effet, alors que les résultats provisoires des bureaux de vote donnaient le FPÖ largement gagnant de ce scrutin, le rapport s'est brusquement inversé avec le dépouillement des 700 000  bulletins par correspondance, et cette inversion inédite dans l'histoire des élections de ce pays...

La fraude semble bien là et même plutôt grossière !

Or, dans 82 bureaux, au moins 573 000 bulletins ont été dépouillés ou comptés avant que les représentants de la commission électorale ne soient sur place pour surveiller le processus. De là à soupçonner que ces irrégularités massives ont couvert une fraude électorale, il n'y a qu'un pas que vient de franchir le FPÖ en déposant un recours auprès de la plus haute juridiction autrichienne, appuyé d'un rapport de 150 pages listant ces irrégularités ainsi que de nombreuses autres...

Il ne s'agit pas ici de soutenir tel ou tel parti mais bien de défendre le principe démocratique souverain que représente le suffrage universel. Si cette règle fondatrice de nos démocraties (déjà malades) est bafouée, autant se déclarer en dictature et refuser aux citoyens la possibilité d'influencer leur avenir...

En dehors de la couleur des partis en lice dans cette élection autrichienne je constate que la défaite litigieuse a été attribuée au parti anti européiste qui s'oppose à la soumission à l'Union Européenne et veut conserver l'Autriche en dehors de l'OTAN...

Voilà une différence politique majeure qui justifie à elle seule la thèse d'une fraude électorale organisée...

La conclusion de cette affaire est désormais entre les mains de la Justice autrichienne qui dispose de quatre semaines pour statuer sur la validité de l’élection. Mais le malaise est désormais installé au sein de la population de ce pays européen aux enjeux importants...

Affaire à suivre...

Ci dessous, 2 articles traitant du sujet émanant de deux sources partisanes et engagées. Alors que la droite nationale française par la voix du journal Media Presse Info anticipe et dénonce, dans une analyse argumentée du scrutin, une fraude confirmée, le New York Times ce média acquis au système mondialiste, quant à lui tourne autour du sujet de la fraude éventuel mais sans jamais l'aborder, et dans un rappel insistant au passé nazi de l'Autriche il réalise une "reductio ad hitlerum" du FPÖ comme pour légitimer dans l'inconscient des lecteurs une fraude éventuelle...

Cette tentative de manipulation mentale par amalgame idéologique simpliste de la part du grand quotidien étasunien, est a considérer comme un quasi-aveu que effectivement une magouille semble  entourer cette élection importante de un pays au centre des intérêts et des objectifs que le Nouvel Ordre Mondial a en Europe (Euro, Tafta, et intégration à l'OTAN...)

Erwan Castel


Source, le lien ici : New York Times

Le parti d’extrême droite en Autriche 
défie les résultats de l'élection présidentielle

VIENNE - Le Parti de la Liberté extrême droite de l'Autriche a déposé une contestation judiciaire mercredi sur les résultats de l' élection présidentielle du pays, en contestant le résultat du 22 mai ruissellement, dans lequel le candidat du parti, Norbert Hofer, a été battu de justesse .

Les fonctionnaires ont déclaré qu'il n'y avait pas de précédent pour un défi à l'issue d'une élection présidentielle dans l'histoire de moderne de l'Autriche, une république fédérale qui a été reconstitué en 1945 sur les cendres de l'Allemagne nazie, qui avait annexé le pays en 1938.

Le défi présenté par le président de la partie à la Cour constitutionnelle, a injecté un élément d'incertitude dans un débat qui a déjà suscité des questions sur la force de l'extrême droite dans un pays avec un temps de guerre passé lourd. M. Hofer a mené le premier tour de scrutin , le 24 avril, dans lequel deux principaux partis du pays ont été remis une défaite humiliante.

La réussite des partis de droite dans un nombre croissant de pays (source du graphique, ICI)

Le déroulement électoral a opposé M. Hofer contre un candidat indépendant et ancien chef de file des Verts, Alexander Van der Bellen .

Les résultats étaient trop proches pour appeler lorsque les sondages fermés à 17 heures le 22 mai; seulement après près de 700.000 bulletins de vote postaux ont récolté a été le résultat annoncé, midafternoon le 23 mai M. Van der Bellen a été déclaré vainqueur, avec 50,35 pour cent des voix et une avance très serré de 30,863 bulletins de vote, selon le ministère de l'Intérieur .

Mercredi, le président du Parti de la liberté, Heinz-Christian Strache, a présenté 150 pages de documents à la Cour constitutionnelle, affirmant "de nombreuses irrégularités et échecs» dans le comptage des voix de ruissellement. Selon l'agence de nouvelles autrichienne APA, M. Strache a présenté trois documents: l'un de lui-même, le second de M. Hofer et le troisième de «électeurs et les citoyens."

M. Strache a dit qu'il y avait eu des irrégularités électorales ou de fraude dans 94 des 117 bureaux de vote régionaux. Dans 82 des stations, il a dit, au moins 573.000 bulletins de vote par la poste ont été triées ou comptées avant que les autorités électorales étaient encore sur place pour surveiller le processus.

"Nous ne sommes pas mauvais perdants, et nous ne contestons pas à cause de différends», a déclaré M. Strache lors d'une conférence de nouvelles. "La méfiance est justifiée. Sans ces défaillances et irrégularités, Norbert Hofer aurait pu être président. "

Le Parti de la Liberté avait déjà revendiqué les irrégularités électorales - y compris dépouillement prématuré des bulletins de vote par la poste et décomptes erronés - mais M. Strache est allé plus loin mercredi, appelant le système de vote par correspondance dans un «échec systémique».

Selon l'APA, le ministère de l'Intérieur a appelé à une enquête sur comptage des voix dans six bureaux de vote.

La Cour constitutionnelle pourrait demander un recomptage ou même une réélection. la loi autrichienne exige que le défi doit être résolu Ce serait de 6 Juillet "dans les quatre semaines suivant la soumission." - deux jours avant l'investiture de M. Van der Bellen.

Le président de l' Autriche est élu pour un mandat de six ans et sert de chef de l' Etat, bien que la position est essentiellement honorifique. Le titulaire du poste, Heinz Fischer , achève son second mandat et n'a pas été autorisé à briguer un troisième.

En 1986, Kurt Waldheim , ancien ministre des Affaires étrangères et le secrétaire général des Nations Unies, a été élu président de l' Autriche, malgré les révélations qu'il avait caché son implication en temps de guerre avec des unités militaires allemandes qui a exécuté des milliers de partisans yougoslaves et civils et déportés des milliers de grecs Juifs vers les camps de la mort entre 1942 et 1944.

Une commission d'historiens n'a trouvé aucune preuve que M. Waldheim était coupable de crimes de guerre, mais a conclu qu'il devait être au courant des atrocités et, en ne faisant rien, leur avait facilité. M. Waldheim n'a pas cherché de réélection en 1992; il est mort en 2007.


Source, le lien ici : Média Presse Info

Autriche : un coup d’État par les urnes

29 mai 2016

Comment le gauchiste Van der Bellen, un prétendu écologiste, un « indépendant » qui vient de sortir des cartons, qui n’a aucune assise populaire, peut-il accéder du jour au lendemain à la fonction suprême ? Les élites bruxelloises aux ordres de Wall Street et de la City ont-elles eu recours à la confiscation du vote d’électeurs qui en ont plein le dos, se rebellent contre l’invasion planifiée, la récession économique, un politiquement correct gestapiste et la tyrannie des règlements bureaucratiques ?

Lors de l’élection la plus serrée et la plus contestée dans l’histoire autrichienne, Alexander Van der Bellen ne l’a emporté sur son adversaire Norbert Hofer qu’avec 31.026 voix d’avance, en dépit des sondages d’opinion qui donnaient Hofer gagnant[1]. Ce monsieur Mondialiste[2] ne doit pas seulement sa victoire aux 600.000 musulmans naturalisés, mais également à des calculs frauduleux et aux votes par correspondance, ceux-là mêmes qui ont tout fait basculer. Deux jours ponctués de flottements, d’annonces, de contre-annonces, d’incohérences, de contradictions. Et ça continue ! Les indices et preuves de manipulations s’amoncellent. Après Waidhofen an der Ybbs, c’est au tour de Linz, troisième plus grande ville de la république alpine, de quatre districts de Carinthie et d’un district de Styrie d’être touchés par les fraudes. Et il y a fort à parier que ces irrégularités ne soient que la partie émergée de l’iceberg.


Le FPÖ va-t-il enfin se décider à défendre ses droits ? [3]

Le 22 mai, dans deux posts sur Facebook, Strache commenta les données trompeuses communiquées par le ministère de l’Intérieur sur Waidhofen/Ybbs[4]. Plus tard, il évoqua de possibles fraudes dans la ventilation des voix à Linz. Dans une ambiance survoltée, des électeurs scandalisés par ces pratiques de république bananière étaient prêts à se lancer sur la Hofburg[5]. Le lendemain, il fit marche arrière, supprima ses posts et exigea d’eux « pondération et modération ».[6] Côté FPÖ, la contestation des résultats fut donc de courte durée.

Dans une conférence de presse du 24 mai[7], Strache et Hofer[8] acceptaient, de façon inexplicable, la sanction des urnes et félicitaient Van der Bellen, le « président de tous les Autrichiens ». Hofer insista sur le fait que « la dépolitisation n’avait pas touché le pays » et enjoignit ses électeurs découragés à respecter les résultats du vote. Il annonça qu’il ne comptait pas exiger un recomptage des voix. Quant à Strache, il souligna qu’après les élections « commence un nouvel âge de la démocratie » et que le FPÖ était « plus fort que jamais ». Des questionnements déferlèrent alors sur la crédibilité des deux ténors du FPÖ, beaucoup se demandèrent s’ils n’étaient pas impliqués dans un accord préalable entre les loges[9].

Le temps presse. Le résultat définitif a été proclamé le 25 mai. À partir de cette date, la loi prévoit un délai d’une semaine pour toute contestation auprès de la Cour constitutionnelle. Visiblement sur la pression de son peuple, Norbert Hofer serait en train de rassembler dans l’urgence les derniers cas suspects et préparerait une action en nullité[10]. Quant à Strache, il vient de récapituler sur Facebook les irrégularités et incohérences apparues ces 22 et 23 mai[11]. Les jours qui viennent nous diront si le FPÖ est bien le parti qu’il prétend être, celui qui défend les intérêts et l’avenir des Autrichiens.

Strache dans le texte[12] :

« Augmentation miraculeuse de 60.000 votes par correspondance ! Le directeur fédéral de scrutin chargé de superviser les élections, Robert Stein (du ministère de l’Intérieur/BMI) est maintenant sous pression ! Outre les 5 districts où le dépouillement s’est déroulé de façon illégale – sans assesseur (le ministère de l’Intérieur a déposé plainte), Waidhofen/Ybbs avec un taux de participation fabuleux de 146%, le double des voix grâce aux votes par correspondance (découvert par la vidéo d’un bloggeur), et beaucoup d’autres indications et incohérences ! 

De surcroît, l’extrapolation douteuse du BMI – après un dépouillement de plus de 65% – donnait 56,5% pour Norbert Hofer, page qui fut supprimée. En règle générale, les ordinateurs ne se trompent pas ! 

Un résultat des votes par correspondance est paru sur le site du BMI le dimanche soir de l’élection, alors qu’ils ne devaient être dépouillés que le lundi à 9 heures, conformément à la loi. Cela a été supprimé un peu plus tard et il fut annoncé qu’une erreur et une panne étaient intervenues ! Généralement, les ordinateurs ne se trompent pas, mais uniquement les personnes qui les utilisent et les contrôlent !

Dans une interview que M. Stein a accordé à ZIB2[13], celui-ci a parlé de 740.000 bulletins de votes par correspondance (un statisticien a donné le chiffre exact de 738.055[14]), lequel a ensuite augmenté considérablement, comme par miracle, pour des raisons inexplicables (d’environ 60.000).  

Un nombre exceptionnellement élevé et douteux de votes par correspondance venant de l’étranger invalidés, et plus encore ! Il y va aujourd’hui de la démocratie et de l’État de droit ! Et de la confiance des citoyens dans cet État de droit et de ses règles démocratiques ! »


Des taux de participation invraisemblables

Alors que les chiffres officiels donnent Bellen gagnant à Linz[15], un autre tableau fait apparaître un taux de participation de 600% grâce aux votes de personnes invalides !

Les commissions volantes et les autorités électorales spéciales ont été regroupées dans une commission électorale spéciale de secteur (Sondersprengel). Cette commission électorale volante, ou autorité électorale spéciale, rend visite, à l’endroit où ils se trouvent et sur leur demande, les électeurs frappés d’invalidité : les malades, les personnes âgées, ou autres[16]. Les maisons de retraite sont bien sûr une cible de choix pour les manipulateurs. Il est très facile d’orienter le vote de malades âgés et de personnes atteintes de démence, de faire une croix à leur place ou d’en ajouter une seconde pour invalider le vote.

Sur le tableau ci-dessous concernant Linz, apparaît, en bas à gauche, cette fameuse Sondersprengel qui fait état de 3.518 électeurs inscrits et de 21.060 voix exprimées[17], dont 14.533 pour le candidat des Verts ! Comme peut-il y avoir une augmentation de près de 600% des voix exprimées rapportées au nombre d’inscrits, c’est ce que n’explique pas le tableau. Ces voix viennent s’ajouter aux autres votes par correspondance.

Les résultats 


Une augmentation de 78% des voix invalidées !

L’on constate également une hausse inhabituelle des voix invalidées (ungültige Stimmen)[18]. Bien qu’au second tour, les bulletins de vote n’aient eu à départager que deux candidats – il y en avait cinq au premier tour –, le nombre des votes invalidés a atteint le taux énorme de 78%[19], progressant de 92.655 au premier tour à 165.212 au second. La différence, soit 72.557, aurait largement suffi à faire gagner Norbert Hofer – il lui a manqué 31.026 voix, celles qui précisément ont permis à son adversaire de le battre. On nous donne comme explication que de nombreux votes par correspondance auraient été envoyés trop tôt !

Autre point clé de l’élection, le nombre de votes par correspondance n’a jamais été aussi élevé dans une élection autrichienne, soit 746.110[20], dont 61,7 % en faveur de Van der Bellen[21]. Dimanche soir, les Verts n’en recueillaient que 144.000, ce qui les maintenait en seconde position. Et soudainement, ils se sont vus propulser en tête. Tout pourcentage en deçà de 60% garantissait à Hofer la Hofburg !

Un écart considérable entre les électeurs qui se sont rendus dans les bureaux de vote et ceux qui ont voté par correspondance[22]

Les voix exprimées dans les bureaux de vote se sont portées à 48% pour Van der Bellen, tandis qu’il remportait 61,7% des voix par correspondance[23]. Un tel écart affectant une partie de tout le corps électoral de presque 17% est difficilement explicable d’un point de vue statistique.

Par ailleurs, dans quatre districts de Carinthie et un district de Styrie, le décompte des votes par correspondance a commencé trop tôt – et donc sans la présence des scrutateurs du FPÖ. Moment déterminant car cette première phase est anonyme. Les enveloppes contenant les bulletins de vote sont extraites de celles renfermant les cartes d’identification des électeurs.

Ces dernières doivent être vérifiées et répondre à tous les critères formels – la procuration doit être signée, l’enveloppe avec la carte d’identification doit être intacte et ne pas avoir été envoyée trop tôt (pas avant le 3 mai pour ce scrutin).


L’ouverture des cartes d’identification : quand le diable se niche dans les détails

Le secrétaire général du FPÖ, Herbert Kickl, avait appelé les scrutateurs à « la plus grande vigilance » lors du dépouillement des votes par correspondance, car c’est « lors de cette procédure que se produisent les irrégularités », ce que confirmait le Kurier dans un article de présentation de ce mode de vote[24].

L’absence de surveillance de cette opération est la porte ouverte aux manipulations. Les enveloppes contenant les bulletins de vote peuvent être facilement échangées par d’autres. Ou bien les bulletins de vote peuvent être carrément subtilisés, invalidant ainsi la voix.

La Commission électorale fédérale, ayant eu connaissance de dépouillements illégaux, a fait intervenir le Parquet. Sont concernés quatre districts carinthiens − Villach-Stadt, Villach-Land, Wolfsberg, Hermagor[25] − ainsi que celui du sud-est de Styrie[26]. Or, en Styrie, les membres FPÖ de la commission ont affirmé qu’on les a empêchés d’accéder au local de dépouillement. Les opérations de dépouillement ont commencé entre 6 et 7 heures du matin, au lieu de 9 heures. Dans ce laps de temps, des enveloppes de bulletins de vote invalidées avaient déjà été détruites, d’autres ouvertes et les bulletins empilés.

Conclusion

En dépit de l’appel au retour à la « normalité  démocratique » du président socialiste et bildergerger Heinz Fischer[27], le climat de surexcitation ne fait que redoubler en Autriche. Le 23 mai, Van der Bellen a en effet annoncé qu’il ne donnerait pas à Strache le mandat de confiance pour former le nouveau gouvernement − autrement dit, il ne le nommera pas à la tête de la chancellerie[28] − au cas où le FPÖ devienne la force la plus importante à l’issue des prochaines législatives, à l’automne 2018. « Le FPÖ joue avec le feu », avertit Van der Bellen, visant là l’euroscepticisme du FPÖ. Si Van der Bellen est intronisé le 8 mai contre la volonté des électeurs, il s’avère dès lors qu’il n’y a plus aucun parti autrichien capable de tenir tête à ceux qui tirent les ficelles en coulisse. Une fois de plus, nous faisons l’expérience que les présidents ne sont pas élus, mais sélectionnés par le pouvoir mondialiste[29].


[2] Lors d’un duel télévisé des deux candidats à la présidence, Norbert Hofer a soutenu qu’Alexandre Van den Bellen était franc-maçon. Celui-ci rétorqua qu’il en était sorti. Impossible, on ne sort de la franc-maçonnerie que les pieds devant, comme Jorg Haider (cf. le livre de Guido Brandt, Logenlüge ? Jorg Haider, où le journaliste d’investigation démontre que Haider a été assassiné par la franc-maçonnerie sur les ordres de l’internationale de la finance, alors qu’il s’apprêtait à révéler un scandale financier) ! Van der Bellen est membre de la Loge d’Innsbruck depuis la moitié des années 1970. Hofer est, lui, chevalier de l’Ordre de Saint-Georges. http://diepresse.com/home/politik/bpwahl/4985797/Praesidentschaft_Van-der-Bellen-ExFreimaurer



[5] Pour s’emparer du pouvoir par la violence et commettre un attentat contre Van der Bellen.



[8] Nos lecteurs germanophones et germanistes trouveront, sur le site Propagandaschau, des analyses sur méthodes de propagande utilisées pour discréditer, diffamer et diaboliser les adversaires du système mondialiste. Ex. sur Norbert Hofer : https://propagandaschau.wordpress.com/2016/05/23/die-propagandamethoden-der-ard-wie-der-weltspiegel-eine-rede-norbert-hofers-verstuemmelte/

[9] N’oublions pas que Strache, invité par le Likoud à Jérusalem le 12 avril 2016, a visité Yad Vashem[9]. Et que Hofer s’est rendu au mont du Temple en 2014. http://www.timesofisrael.com/far-right-austrian-freedom-party-chief-visits-israel/












[21] Voir http://www.medias-presse.info/autriche-une-election-presidentielle-entachee-de-manipulations-et-de-fraudes/54995 Une fois n’est pas coutume, le Spiegel online fournit des graphiques très clairs sur les caractéristiques des électeurs de Hofer et de Bellen : http://www.spiegel.de/politik/ausland/oesterreich-die-waehler-von-norbert-hofer-und-alexander-van-der-bellen-a-1093119.html






[27] En fonction jusqu’au 8 juillet 2016. https://de.wikipedia.org/wiki/Heinz_Fischer



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