dimanche 5 juin 2016

Il nous prend vraiment pour des cons


Le Général Breelove, Commandant étasunien de l'OTAN de concert avec Obama and Co a déclaré le 24 février dernier que l'ennemi principal des occidentaux était la Russie :

« la Russie représente une menace pour les Etats-Unis et nos alliés en Europe. La Russie qui essaie de réécrire les règles approuvées dans l'arène internationale, vise à utiliser son influence incontestable sur les pays voisins pour la création d'une 'zone tampon' (...) S’il le faut, nous attaquerons la Russie »

L'Europe se réarme donc au milieu des représailles économiques contre Moscou et des manœuvres le long des frontières de la Fédération, dont tous les scénarios désignent un ennemi situé à l'Est.

Des bases de missiles sont installées en ceinture autour de la Russie affichant une provocation agressive qui dépasse le simple cadre d'une stratégie défensive, mais notre môssieu 12 % national, François Hollande les pieds dans l'eau, de soutenir mordicus que les radars et les rampes de missiles en Pologne et Roumanie qui sont pointés vers l'Est ne visent pas la Russie !

Une telle arrogance stupide en est devenue pathétique...

Erwan Castel

Source, le lien ici ; BFM TV

Otan: la défense anti-missile 
"n'est pas dirigée" contre la Russie affirme Hollande

La défense anti-missile de l'Otan "n'est pas dirigée contre la Russie", a déclaré ce vendredi François Hollande en souhaitant que le dialogue entre l'Alliance atlantique et Moscou permette de lever des "malentendus" et des "incompréhensions délibérément excessives".

"La défense anti-missile de l'Otan n'est pas dirigée contre la Russie (...) Elle n'est destinée qu'à assurer la défense de l'Alliance contre des menaces potentielles n'émanant pas de la zone euro-atlantique", a souligné le président de la République dans une déclaration faite à l'Elysée à l'issue d'une rencontre avec le secrétaire général de l'Otan, Jens Stoltenberg, dans la perspective du sommet de l'Otan, début juillet à Varsovie. "Il y a eu des consultations entre l'Otan et la Russie qui vont dans ce sens et ce dialogue peut nous permettre de transmettre clairement les messages et d'éviter les malentendus ou quelquefois des incompréhensions qui sont un peu excessives, délibérément excessives", a poursuivi François Hollande.

Divergence de points de vue

Le projet de bouclier antimissile américain, lancé en 2010, passe par le déploiement progressif en Europe de l'Est et en Méditerranée de puissants radars et de missiles intercepteurs. Présenté par Washington comme une protection face à l'Iran ou la Corée du Nord, il est vu par Moscou comme un système dirigé contre ses capacités de dissuasion nucléaire.

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