Jacques Attali, le démon dément du Nouvel Ordre Mondial
Jacques Attali c'est un homme protéiforme, tour à tour conseiller spécial de François Mitterand, Président de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement, essayiste, fondateur de Planet finance, chef d'orchestre, conseiller de Nicolas Sarkozy, puis de François Hollande mais aussi d'Emmanuel Macron...
Comme Talleyrand qui servit tous les régimes de son temps, Attali survit à l'alternance du pouvoir, animé par un fanatisme libéral qu'il tente de transmettre à tous les gouvernements prouvant par sa permanence que la droite et la gauche ne sont que les limites très rapprochées d'une direction commune et unique.
Hyper actif mais aveuglé par un égo surdimensionné, ce grand rabbin de l'ultralibéralisme nous réserve régulièrement des buzzs médiatiques qui ne sont malheureusement pas des dérapages maladroits mais bien les aveux d'une pensée totalitaire et amorale fondée sur l'appât du gain et le mépris de l'Homme.
Le problème de ces dernières années, c'est que la dictature de la pensée unique connait désormais ses limites et même recule devant le réveil des consciences effectué par une dissidence de plus en plus importante et organisée grâce aux réseaux internet.
Le problème de ces dernières années, c'est que la dictature de la pensée unique connait désormais ses limites et même recule devant le réveil des consciences effectué par une dissidence de plus en plus importante et organisée grâce aux réseaux internet.
L'exemple du référendum sur le Brexit en est un exemple frappant et surtout un danger mortel pour ce Nouvel Ordre Mondial qui a besoin de garder intact l'enclos de ses esclaves européens, aussi l'inénarrable Jacques a enfourché à nouveau sa pensée malade pour une nouvelle croisade contre ceux qui refusent de rentrer dans les supermarchés de l'Oncle Sam.
Pour défendre l'Union Européenne vs Nouvel Ordre Mondial, Attali prône tout simplement l'annulation du référendum sur le Brexit et la mise en place d'une réglementation stricte définissant sur quels sujets le peuple a le droit d'exprimer son avis ! Car selon ce dément, le peuple n'a pas le droit de choisir son avenir, la définition du "progrès" étant par essence au dessus des capacités intellectuelles plébéiennes contrairement à celles de l'élite ploutocratique au pouvoir bien sûr.
Voilà pourquoi le gourou Attali conseille t-il à l'élite mondialiste de passer à la vitesse supérieure et d'installer une dictature bureaucratique qui "sanctuarise" les sujets sociétaux qui alimentent et protègent ses intérêts.
Jusqu'où la pensée malades de ce fanatique de l''Unique' influencera t-elle encore les laquais que le système a mis en place dans les palais européens ? Ce qui est sûr en revanche c'est que comme Talleyrand, Attali risque un jour d'entendre le Diable l'accueillir en lui disant : « Prince, vous avez dépassé mes instructions ! »
Erwan Castel
Ce qui est sûr pour ce conseiller présidentiel à vie c'est que ce qui est sans limite c'est bien sa connerie ! |
Source, le lien ici : Novopress
Jacques Attali appelle à l’instauration d’une dictature !
21/06/2016 – FRANCE (NOVOpress) : Dans une tribune publiée par L’Express, intitulée « Sanctuariser le progrès », Jacques Attali lance un appel, argumenté, à l’instauration de la dictature !
« Le référendum britannique, écrit-il, quel qu’en soit le résultat, constitue un tournant idéologique majeur dans l’histoire de l’Occident. Un tournant vers le pire, si l’on n’en pèse pas toutes les conséquences. » Vers le pire ? Oui car, « jusqu’ici, on considérait certaines évolutions institutionnelles, économiques, sociales, scientifiques, comme des avancées telles que, une fois qu’elles étaient installées, nul ne chercherait plus jamais à les remettre en cause, même pas par un vote démocratique. Avec le vote sur le Brexit, c’est ce principe, non-dit et pourtant essentiel, qui est remis en cause. »
« Un tel référendum, enchérit-il, implique qu’un peuple peut remettre en cause toute évolution considérée jusque-là comme irréversible, telle qu’une une réforme institutionnelle, une conquête sociale, une réforme des mœurs. »
Celui qui n’exclut pas de se présenter à la présidence de la République explique :
« Certes, il a toujours été admis qu’en principe, en démocratie, le peuple peut décider de tout. Il n’empêche : selon notre conception occidentale du droit, il existe des progrès irréversibles (par exemple, la démocratie, la liberté du culte, l’interdiction du travail des enfants, l’abolition de la peine de mort) qu’un vote simple ne peut défaire. Admettre qu’on puisse remettre en cause des acquis, revient à nier la notion même de progrès. »
Jacques Attali propose donc une réforme institutionnelle, afin de déterminer quels sont les « sujets qu’un seul vote majoritaire du peuple ne pourrait suffire à trancher », sujets « qui seraient sanctuarisés, en les inscrivant dans la Constitution ». Puis « il faudrait ensuite modifier la procédure de réforme constitutionnelle, pour s’assurer qu’un vote de circonstances ne puisse avoir des conséquences de long terme non désirées. Toute décision ayant un impact lourd sur le sort des générations suivantes, ne devrait pas pouvoir être prise par une majorité de moins de 60 % des votants, réaffirmée à trois reprises à au moins un an d’écart. »
Conclusion morale, évidemment morale, de celui qui a l’oreille des princes qui nous gouvernent :
« Certains ne verront dans cette prise de position qu’une tentative désespérée d’une oligarchie dépassée pour maintenir un ordre démodé, en méprisant les désirs des peuples. Il s’agit au contraire de donner aux peuples le temps de réfléchir aux conséquences de ses actes et d’éviter qu’une génération, par caprice, ne détruise ce que les précédentes ont voulu laisser aux suivantes. »
Pour paraphraser Robespierre :
le peuple doit se taire parce qu’il faut que le progrès vive.
Ou, pour paraphraser Saint-Just :
pas de liberté pour les ennemis du progrès.
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La pensée d'Attali en une phrase :
La pensée d'Attali en une phrase :
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le lien ici : Riposte laïque
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