La sorcière du bal des vampires

Je le confesse, parfois je cède à la tentation de me moquer de mes ennemis. Ainsi par exemple de cette bande de néo conservateurs étasuniens accrochés au trône de leur arrogance autant qu'à leur rêve d'immortalité.  

Et lorsque je regarde les visages tourmentés par la haine et la cupidité des "dinosaures"du Nouvel Ordre Mondial tel que Brzezinski. Soros, Mac Cain,  Kissinger, Rockfeller etc... je leur trouve un trait commun pour ne pas dire un air de famille : une extrême laideur !

À croire que tous ces vieillards vampirisant frénétiquement le Monde comme s'ils y recherchaient un remède contre leur propre mort imminente, soient devenus l'incarnation parfaite du système hideux qu'ils défendent.

Madeleine Albright qui vient soutenir sa disciple Hillary Clinton au bal des vampires n'échappé pas à la règle. En effet cette ancienne représentante de da Maison Blanche qui déclarait publiquement que la mort de 500 000 enfants irakiens dans la guerre menée contre Saddam Hussein  (et surtout pour ses puits de pétrole !), vient de prouver une fois encore que sa laideur n'était que le reflet de son âme.

"Tuer 500 000 enfants irakiens 

est un prix qui en valait le coup"

Animée par sa russophobie obsessionnelle et délirante, la sorcière au cours d'un discours en compagnie de l'incendiaire Clinton a cette fois insulté gravement la Russie en méprisant au passage le Bengladesh... On connaissait déjà son cynisme odieux, mais aujourd'hui on découvre une vieille sorcière tellement possédée par son idéologie fanatique et belliciste qu'elle sombre dans une telle avanies,  que l'on est en droit de se demander si elle est toujours en possession  de toutes ses facultés mentales !

Quoiqu'il en soit, ce qui est dit est dit et les propos outrageants de celle qui fut ambassadrice des USA à l'ONU avznt de devenir Secrétaire d'État de la Maidon Blanche résument à eux seuls toute la mentalité qui anime ce Nouvel Ordre Mondial étasunien : bête et méchant !

Erwan Castel

Et dans la famille de l'abjection incarnée nous trouvons aussi Soros, Rockfeller, Kissinger, Brzezinski, Mac Cain, entre autres vampires du Nouvel Ordre Mondial...

Article de référence : RT

La Russie, «un Bangladesh avec arsenal nucléaire», 

Moscou indignée des propos de Madeleine Albright.

20 avr. 2016, 09:44

Madeleine Albright a qualifié la Russie de «Bangladesh avec un arsenal nucléaire». Or, pour le député russe Alexeï Pouchkov, les assertions de l'ancienne secrétaire d’Etat des Etats-Unis ne jouent plus aucun rôle dans la diplomatie internationale.

«Bangladesh avec un arsenal nucléaire» et «pays provoquant sans cesse pour ensuite se dire offensé», telles sont les opinions de Madeleine Albright sur la Russie, avant d'ajouter qu’il y en avait maintenant «ras-le-bol».

Pour l’actuel président de la commission des Affaires étrangères de la Douma, Alexeï Pouchkov, les remarques de Madeleine Albright n’ont pas vraiment d’importance dans la mesure où l’ancienne secrétaire d’Etat américaine ne joue plus aucun rôle dans jeu de la diplomatie mondiale contemporaine.

«"Un ras-le-bol", Albright ou pas, ça n’a pas d’importance. Les Etats-Unis et leurs conseillers se doivent de tenir compte de la Russie, et l’avis d’un secrétaire d’Etat oublié, peu s’en soucient», écrit sur son compte Twitter, Alexeï Pouchkov.

Lors d’une interview, Madeleine Albright a déclaré, en réponse à une question sur la Libye, dont la décision autorisant l’opération militaire a été prise par le Conseil de sécurité de l’ONU sans l’accord de la Russie : «ça me court sur le haricot qu’on essaie toujours de chercher des excuses à la Russie. C’est un pays qui provoque sans cesse, pour ensuite se dire offensé.»

L’ancienne secrétaire d’Etat américaine a également accusé le président russe, Vladimir Poutine, de «tout vouloir maintenir sous son contrôle», et d'avoir dans «dans ses mains les mauvaises cartes, mais avec lesquelles il joue très bien» pour éloigner l’OTAN «de la sphère d’influence [de l’Union européenne]».

Madeleine Albright a été la première femme secrétaire d'Etat des Etats-Unis de 1997 à 2001. Elle était l'une des personnalités politiques à soutenir la ligne dure de la politique étrangère des Etats-Unis