Nuit Debout, le dérapage continue

Après la liberté de penser, Nuit Debout  s'attaque à la liberté d'expression !

Le totalitarisme d'une pensée nauséeuse qui se prétend "antifa" continue de saboter la dynamique populaire du mouvement Nuit Debout. 

Après l'éviction musclée de penseurs non conformes à la définition sectaire et donc fasciste du débat autorisé, c'est au tour des médias dissidents d'être la cible des organisateurs de ce mouvement qui de stérile est aujourd'hui devenu collabo.

Nuit Debout reste cependant à mes yeux un bel exemple qui confirme les observations de Gustave Le Bon dans son essai "Psychologie des foules",  à savoir celui de la manipulation parfaite par le pouvoir d'un mouvement d'opposition : neutralisation et retournement !

Il est temps que cette mascarade de résistance démocratique cesse.

Erwan Castel

Article de référence : Valeurs Actuelles

Des militants de "Nuit debout" appellent 
au lynchage d’un journaliste de RT France

Démocratie. Un journaliste de Russia Today France qui suit depuis plusieurs semaines les rassemblements de « Nuit debout » a été pris pour cible par des militants d’extrême gauche.

Depuis la création du mouvement « Nuit debout », RT France a pris l’habitude de retransmettre en direct, via l’application Periscope, les différents rassemblements organisés par le collectif. Accusé d’être «l’un des médias préférés de la "fachosphère"», le site d’information pro-russe est désormais la cible de militants d’extrême gauche qui n’hésitent pas à s’en prendre directement à ses reporters.

Ainsi, le 14 avril dernier, l’un d’eux a été pris à partie par plusieurs manifestants qui ont diffusé sa photo sur les réseaux sociaux afin de l’empêcher de filmer le rassemblement. «Oh put*** je l'ai en gros plan ! T'es content de faire ton métier fils de p*** !» lui a lancé une jeune femme avant de poser la photo sur le groupe Facebook « Blocus Paris ».

S’en est suivie une véritable chasse à l’homme virtuelle. De nombreux internautes sympathisants de la mouvance anti-fasciste ont ainsi appelé les manifestants à « attraper ce con**** » ou à « lui niq*** sa mère ». RT France a décidé de porter plainte pour «menace matérialisée par écrit, image ou autre objet de violences».